Animer une réunion d’entreprise avec un tableau interactif

Lorsque l’on organise une réunion au sein d’une entreprise, l’objectif est de maintenir l’attention, la motivation tout en développant la participation et l’interactivité. Il faut obtenir des résultats concrets en mobilisant les personnes présentes. Ces objectifs sont tout à fait réalisables en utilisant un tableau blanc interactif appelé aussi tableau numérique interactif. Le groupe PSA Peugeot Citroën France ayant adopté cette solution depuis déjà de nombreuses années, déclare en être très satisfait.

Dossier détaillé sur la solution interative adoptée par PSA

Vidéo d’application du tableau interactif en entreprise

Améliorer la performance d’une réunion

Le Groupe PSA Peugeot Citroën a immédiatement constaté une plus grande efficacité et une meilleure productivité. Ainsi, en utilisant un tableau blanc interactif la durée du tour de table d’une réunion de direction diminue de 50 %. Avec le tableau blanc interactif, le rythme évolue en permanence grâce à l’ajout de contenus éclectiques et de médias variés. L’effet de rupture brise la monotonie et les personnes présentes restent motivées et sont donc plus investies.  L’attention est maintenue et concentrée sur un contenu dynamique, attrayant alors que toutes les ressources sont à portée de doigt.

Le logiciel TBI gère microsoft office

L’animateur de réunion pourra facilement intégrer dans le logiciel ses supports Word, Excel ou Powerpoint, il y a une interopérabilité totale entre tous ces logiciels.  Ne pas lésiner donc sur la qualité du logiciel que vous achetez avec le matériel, il jouera un rôle important dans la qualité de votre présentation et la facilité de prise en main de l’outil. Optez pour un logiciel Smart Notebook ou Mimio Studio qui sont des références dans le domaine.

Vous pourrez optez pour un  tbi mobile, un tbi fixe ou un écran tactile en fonction de vos besoins.

L’article « quel tbi choisir » vous aidera dans vos choix de tbi, VPI ou écran tactile.

Taux d’utilisation des surfaces interactives dans les classes

quel est la pourcentage des utilisateurs de tbi en europe

 

Depuis 1991, plusieurs millions de tableaux interactifs ont été installés dans des salles de classe. La répartition de ces solutions est cependant très loin d’être homogène. Certains pays ont beaucoup investi dans ces technologies et d’autres ont tardé à prendre le train.
On trouve à gauche de ce graphique, sans surprise, les pays du nord de l’Europe et les pays où les nouvelles technologies sont intégrées dans le mode de vie. En bleu, on trouve le pourcentage de salle de classe équipée pour 2013 et en blanc la prospective pour 2018. On remarquera que même les pays massivement équipés continuent l’équipement. L’exemple de la Turquie montre les possibilités offertes par un plan d’équipement décidé à l’échelle de la nation. Sur le même sujet, découvrez pourquoi le tableau interactif a de la cote en Europe ?
En fonction de l’organisation des systèmes scolaires, il y a donc une importante hétérogénéité entre les pays. Le Royaume-Uni, pionnier de ces équipements est depuis plusieurs années, dans un marché de renouvellement. Toutes ses salles de classe sont équipées, y compris celles d’enseignants qui ne veulent pas entendre parler de ces technologies. À ce sujet, il convient de faire une petite remarque sur le processus d’adoption d’une nouveauté technologique.

Une courbe et un gouffre pour mieux comprendre

courbe adoption utilisation surface interactive

La courbe ci-dessus représente la courbe d’adoption d’un nouvel objet technologique, telle que décrite par Everett Rogers. Cette courbe montre comment les différents profils de personnalités s’approprient la nouveauté.
Les innovateurs sont toujours à l’affût de ce qui est nouveau, ils adopteront donc la nouveauté tout de suite. Les adopteurs précoces suivront assez rapidement si l’intérêt suscité dans les premiers cercles est suffisant. Viennent ensuite les pragmatiques du changement, prêts à adopter la nouveauté s’ils en perçoivent les avantages. Beaucoup d’innovations n’atteignent pas ce stade et tombent dans l’oubli, à tel point que Geoffrey Moore a rajouté un élément à la courbe de Rogers, le « Gouffre de Moore » qui symbolise toutes ces innovations qui passent à la trappe sans avoir été adoptées. Cela a été le cas, par exemple, du Bi-Bop, un téléphone portable qui ne fonctionnait que près de bornes aménagées, ce qui a conduit à son rapide déclin.
Les pragmatiques de la continuité tendent à conserver leur mode de fonctionnement et il faut les convaincre de l’intérêt de l’innovation pour qu’ils acceptent, plus ou moins facilement d’utiliser la nouveauté. Les résistants, enfin, sont réfractaires à tout changement et refusent par principe toute innovation.
Au Royaume-Uni où toutes les salles de classe sont équipées, des tableaux se trouvent dans des classes de réfractaires. On fait donc apparaître dans les études, que certains matériels ne sont pas utilisés, études dont s’emparent ensuite de façon militante les pragmatiques de la continuité pour justifier leur immobilisme. Un exemple frappant est celui de l’utilisation des recherches de Thierry Karsenti pour dénigrer l’outil, en ne retenant que les « défis » et les cas de non-utilisation évoqués par ce chercheur, alors que ces travaux démontrent au contraire l’intérêt et qu’ils émettent des préconisations en terme de formation par exemple, pour éviter les échecs constatés.

Quelles solutions pour un meilleur usage ?

Avec le recul, on sait maintenant ce qui est intéressant pour faciliter la mise en place de ces solutions. Le facteur le plus stratégique est la formation. On pouvait s’en dispenser lorsque seuls les innovateurs étaient équipés, mais au fur et à mesure du déploiement, la formation devient impérative. C’est pourtant le parent pauvre des opérations d’équipement. De plus, même quand cette formation est prévue, elle se limite trop souvent à une présentation des possibilités, voire à une simple mise en fonction. Dans le domaine de la pédagogie, c’est bien une formation en pédagogie qui est à prévoir.
Un autre point essentiel est la qualité du matériel mis à disposition. Bien souvent, on oublie que les enseignants sont des professionnels qui doivent, toute la journée, tenir en haleine, une trentaine d’élèves, élèves, toujours prêts à manifester leur « supériorité » technologique en cas de problème. Au Royaume-Uni, les vidéoprojecteurs posés sur les tables sont tout simplement interdits. Cela a permis la mise en place de meilleures conditions d’utilisation tout en assurant une meilleure sécurité des matériels. En France, aujourd’hui encore, on pose l’ordinateur portable et le vidéoprojecteur sur la petite sellette conçue à l’origine pour le projecteur de diapositives… Des câbles traversent la classe risquant de provoquer des chutes d’élèves ou de matériel. Ces choix hasardeux viennent généralement d’un souci d’économie et de la volonté de démocratie. C’est-à-dire que l’on demande à l’innovateur et au résistant de partager le même équipement. L’innovateur sera donc très rapidement le seul utilisateur, mais d’un équipement fastidieux à mettre en œuvre, ce qui limitera l’effet d’entraînement sur les pragmatiques alors qu’un enseignant doté d’une solution pratique fait souvent tache d’huile dans son établissement et rapidement, toutes les classes sont équipées par une collectivité heureuse de voir la bonne efficacité de leur investissement.

Et le futur ?

De même que la France a fini par abandonner le Minitel pour adopter Internet, il est probable que la généralisation de ces équipements se fera dans quelques années dans les salles de classe du monde entier. Après tout, le tableau noir (devenu vert puis blanc) n’est que rarement mis en question dans les classes, pourtant, son utilisation n’a que 200 ans…
On pourrait inférer que l’arrivée de solutions tactiles individuelles peut remplacer les tableaux interactifs. Ce serait une énorme erreur, aussi importante que de dire que le tableau standard peut être remplacé par le manuel et le cahier.
En revanche, ce qui peut être remplacé, c’est le manuel papier et le cahier par des tablettes et le tableau à feutres ou craies par des TBI. Certains états américains ont rendu l’écriture manuscrite facultative à l’école, ont interdit les manuels papier, dans 20 ans, cet exemple sera peut-être la norme.
Cette évolution est déjà en marche dans beaucoup de pays. Par exemple, aux États-Unis au Canada et en Finlande, on trouve de plus en plus de classes équipées de plusieurs TBI, ceci pour favoriser le travail collaboratif. Voir par exemple ce qui se passe à l’école de Lachine, au Canada

Utiliser un tableau numérique en entrepriseL’utilisation des tableaux interactifs en entreprise

Le tableau interactif fait de plus en plus souvent parler de lui dans les écoles pourtant c’est loin d’être le seul lieu où il peut être utile. Les entreprises ont désormais tout intérêt à utiliser cet outil pratique qui permet d’interagir sur du contenu présenté, aussi bien des vidéos que des images ou du texte. Cet outil se développe dans les salles de réunion rapidement.

Qu’est-ce qu’un tableau interactif

Le tableau blanc interactif ou TBI est également connu sous le nom de tableau numérique interactif ou TNI. Il permet d’afficher directement le contenu d’un ordinateur et de le contrôler soit à l’aide d’un crayon-souris soit avec les doigts lorsqu’il s’agit d’un écran tactile. L’écran tactile, relié directement à un ordinateur et un vidéoprojecteur, permet d’afficher sur le tableau l’écran de l’ordinateur. S’il est de plus en plus utilisé dans les écoles, il a également sa place en entreprise que ce soit pour les conférences ou pour des réunions. C’est un outil facile à utiliser quelle que soit la taille de l’entreprise.

Les avantages du TBI en entreprise

Dans une société, le TBI permet de présenter un grand nombre de données variées à un public important. Le conférencier peut interagir directement sur sa présentation, il peut écrire ou dessiner directement sur l’écran avec un stylet, les doigts ou un feutre virtuel. Pour ceux qui assistent à la réunion, il n’est plus nécessaire de prendre des notes car le contenu affiché sur le tableau numérique peut être sauvegardé et imprimé. Toutes les informations sont conservées et leur diffusion est grandement facilité grâce à l’impression ou à l’envoi courriel. Le travail sur TNI permet l’utilisation rapide de présentation de Power Point et les participants peuvent travailler en temps réel sur le tableau même en utilisant intranet ou extranet. Cet outil fait évoluer la notion de collaboration au sein de l’entreprise grâce à l’interactivité.

Les caractéristiques du TBI en entreprise

Les marques présentes sur le marché du TBI d’entreprise sont de plus en plus nombreuses.
Parmi elles, on peut citer Promothean, Mimio, Smartboard qui ont développé des outils spécifiques pour les entreprises. La plupart des modèles peuvent désormais se piloter directement avec le doigt et ne nécessitent plus de stylet. Il est même possible de faire pivoter les éléments et de modifier la taille des présentations. En utilisant un tableau interactif, on crée une réelle interactivité et une collaboration plus vivante  on sauvegarde immédiatement toutes les notes et on les partage en temps réel, les visioconférences sont encore plus actives et productives.

En résumé, les avantages de l’utilisation du TBI en entreprises sont nombreux : promouvoir
la communication visuelle, disposer de données réutilisables, gain de temps, présentations animées et interactives….

 

Lire aussi notre article sur comment choisir son tbi

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Transmettre un savoir et apporter quelque chose à celui qui nous écoute, lorsqu’on y arrive, apporte une énorme satisfaction à celui qui est dans le rôle « du maître ». C’est là que se trouve le plaisir d’être enseignant. On n’y parvient pas toujours pour diverses raisons. En revanche, j’ai constaté dans mon travail d’enseignant que l’utilisation d’un tableau numérique interactif est un vrai plus.

Je suis enseignant de mathématiques et sciences physiques en lycée professionnel, j’ai de nombreux élèves qui arrivent en étant « fâchés » avec les maths et qui ne sont pas motivés. Cependant je trouve qu’utiliser le TBI me permet de motiver bon nombre de ces élèves car il facilite la compréhension, et par son aspect interactif et même ludique, motive les élèves.

Le TBI fait participer les élèves

En maths et dans les autres matières, il y a une façon très simple d’utiliser le tableau numérique. Par exemple, on distribue aux élèves un cours ou une activité, les élèves doivent répondre sur le document. Ils complèteront peut-être des textes à trous, des tableaux, traceront une figure, souligneront des mots… L’intérêt du TBI consiste alors à faire participer les élèves.

…avec le TBI, on peut faire défiler le document et revenir en arrière


On envoie un élève au tableau qui va écrire sur le tableau, compléter les trous par exemple. Avec un vidéoprojecteur classique, on peut le faire, mais lorsque l’on fait défiler le document, les trous complétés au feutre ne seront plus au bon endroit, il faut alors effacer au chiffon si l’on veut continuer. Et on ne peut pas revenir en arrière si on a effacé. Au contraire avec le TBI, on peut faire défiler le document et revenir en arrière, les réponses sont enregistrées dans l’ordinateur. Cela arrive en fait très souvent.

D’autre part, de nombreux outils sont proposés et sont vraiment utiles. Un élève va au tableau, il doit tracer une droite, il peut utiliser « l’outil droite », il trace la droite à main levée sur l’écran, sans utiliser de règle, et une belle droite se trace automatiquement. De même on peut tracer un cercle et il faut bien reconnaître que tracer un cercle au tableau au compas n’est pas évident pour un élève et même pour l’enseignant. Les exemples d’utilisation en géométrie sont nombreux. J’aime utiliser le tableau numérique dans mes cours en géométrie. Pour l’enseignant, c’est aussi un vrai plus de pouvoir mettre de la couleur sur le tableau et il n’y a rien de plus simple avec le TBI, le choix de couleurs est vaste.

En ce qui concerne les élèves, une fois qu’ils ont vu comment fonctionnait le TBI, je constate qu’ils ont plus envie de venir au tableau, ils ont envie de tester c’est outil un peu magique et moderne. Il me semble en fait que le TBI, grâce aux outils qu’il propose et à sa facilité d’utilisation, est motivant pour les élèves. Un autre point intéressant est que lorsqu’un élève passe au tableau, le TBI reconnait les caractères d’écriture manuelle de l’élève et le réécrit en caractère d’imprimerie, ainsi, si un élève écrit trop petit par exemple le logiciel reformate l’écriture à la taille décidée au départ. Le résultat est clair et lisible pour tout le monde.

Cette utilisation du tableau numérique interactif est vraiment intéressante lorsque des logiciels complets sont installés avec le tableau. L’intérêt est moins grand si les logiciels dédiés ne sont pas installés.

le TBI, facilite la compréhension des élèves

Je trouve pour ma part que, au niveau des mathématiques, le TBI, facilite la compréhension des élèves. Le visuel net et précis et l’aspect interactif : faire, défaire, déplacer… permet un meilleur apprentissage et permet notamment de remotiver les élèves en difficulté.

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