MimioConnect a été élu vainqueur par les lecteurs de eSchoolNews pour l’année 2014-2015

04 Aout 2014, Cambridge, MA (PRWEB)

Mimio, un des fournisseurs pionniers en technologies de l’enseignement interactif a annoncé aujourd’hui que sa communauté en ligne a été élue par les lecteurs de la magazine eSchoolNews pour l’année 2014-2015. Ce programme annuel qui rassemble les communautés en ligne passionnées par les technologies de l’éducation, décerne chaque année un prix pour les 50 meilleurs produits technologiques élus par les lecteurs.

MimioConnect fournit en ligne une bibliothèque regorgeant d’une multitude de ressources, dont 13 000 leçons interactives préconçues par les enseignants et qui couvrent toutes les matières sur tous les niveaux d’études. Plus de 206 000 utilisateurs bénéficient en ce moment de la richesse de ressources et des partages qui se font sur MimioConnect.

Les enseignants collabore et partage

Les enseignants font partie des électeurs et exprime les avantages apportées par la plateforme internet de la marque Mimio. Le président Manny Perez confirme que sur MimioConnect, les enseignants peuvent collaborer, télécharger, partager et utiliser des leçons ou se servir des ressources comme éléments de base dans la conception d’activités sur le tableau interactif.

Le test de satisfaction et les votes ont eu lieu au dernier printemps, plus de 1300 professeurs et responsables issus des 12 écoles du district à travers l’Amérique du Nord ont participé à l’élection du produit ou service hi-tech de l’année 2014. Pour la sélection de marques participantes, les prestataires intermédiaires tels que les fournisseurs ne rentrent pas dans les critères de candidature. Durant l’élection, des enseignants ont été sondés sur leur niveau d’utilisation du produit, sur leur satisfaction et comment ils concevaient l’utilisation de chaque produit pour améliorer l’enseignement, l’apprentissage ou la gestion des cours.

Le directeur éditorial du magazine eSchoolNews Dennis Pierce affirme que le résultat du vote a permis d’identifier les produits et services hi-tech qui ont prouvé leur efficacité au niveau des utilisateurs. Au-delà d’une simple classification, ce résultat affiné permet aux lecteurs d’être plus sélectifs par rapport à la technologie qu’ils utilisent en classe.

 

Les autres produits interactifs Mimio

La suite de MimioClassroom complète la gamme de technologies interactives Mimio. C’est l’une des systèmes interactifs les plus plébiscités dans le monde de l’enseignement car il est utilisé dans plus de 600.000 salles de classe à travers le monde. En Juin, la marque a présenté officiellement l’écran tactile LED MimioDisplay qui complète sa gamme de produits de technologie interactive. Associé avec la barre interactive MimioTeach, il convertit tout tableau effaçable à sec en tableau interactif. Il peut également être en association avec le vidéoprojecteur interactif MimioProjector, la caméra de documents MimioView, la tablette à stylet sans fil MimioPad; et l’encre enregistreur MimioCapture.

Mais c’est surtout le logiciel MimioStudio déjà primé qui garantit la puissance de l’interactivité derrière ces produits sans parler de sa compatibilité avec les dispositifs interactifs d’autres fabricants. Pour les dernières sorties, Mimio a lancé l’année dernière son application Mimiomobile qui offre aux enseignants plus d’ouverture avec un environnement d’apprentissage collaboratif et équipé de toutes les accessoires nécessaires pour compléter l’interactivité dont des tablettes et smartphones Apple et Android.

 

Vous êtes attirés par les fonctionnalités d’un tableau interactif tactile ?

La facilité d’utilisation d’un vidéoprojecteur interactif vous intéresse, mais l’utilisation du stylet ne vous convient pas ? Voici le nouveau vidéoprojecteur interactif tactile EB-595Wi de la série Epson!

EPSON eb-595wi

Après un franc succès du projecteur EB-475Wi sur le marché de l’éducation, Epson a annoncé l’arrivée prochaine d’EB-595Wi, qui, propose comme nouveauté l’interactivité tactile, vous pouvez annoter au doigt sur le tableau.

Et ne manquons pas de dire qu’il donne droit à la gestion de plusieurs pointeurs simultanés : modifier un objet,  le saisir, le réduire ou l’agrandir. Plusieurs utilisateurs y ont accès (au maximum 6 points de contact) sans avoir recours à des stylets.

 

 

EB-595Wi se distingue également par sa luminosité qui est légèrement plus brillante que son prédécesseur EB-475Wi, soit  de 3300 Ansi, quoi de plus nécessaire pour l’éclairage d’un projecteur à ultra-courte focale. Il constitue également l’un des premiers vidéoprojecteurs interactifs à avoir deux entrées HDMI dans sa connectivité.

Deux entrées HDMI peuvent-elles constituer un atout majeur pour un vidéoprojecteur interactif ? Cette seconde entrée HDMI procure-t-elle un avantage réel pour votre système interactif ?

Grâce à cette seconde entrée, vous avez un accès entier au sans fil, vous  pouvez relier un appareil vidéo avec une sortie HDMI directement au vidéoprojecteur interactif tout en le mettant en lien avec votre ordinateur portable. Cela vous évite de recourir aux commutateurs et boîtes externes et supprime également le coût d’une prise de courant supplémentaire.

EPSON eb-595wi HDMI

Si cette seconde entrée HDMI  vous rend utile (par exemple pour une connexion avec un lecteur Blu-ray), la vidéoprojection sans fil et l’interactivité peuvent être atteint en intégrant une carte supplémentaire LAN sans fil dans votre appareil.

Tout comme son prédécesseur EB- 475Wi, EB- 595Wi est livré avec un haut-parleur intégré de puissance 16 watts et adopte le même logiciel « Easy Interactive » qui est conçu pour une interactivité simplifiée, en outre, la barre d’outils de contrôle du projecteur vous permet  de contrôler le projecteur avec le stylet interactif (zoomer, contrôler les sources, le volume du haut-parleur).

Plusieurs autres fonctions sont disponibles sur ce vidéoprojecteur, alors, n’hésitez pas à appeler à nous demander plus d’informations.

C’est le rêve de beaucoup d’élèves, le vœu de certains financeurs, la crainte d’enseignants, la vision de certains prophètes de la société à venir, mais est-ce un phantasme ou une réalité plausible, possible, souhaitable ?

L’ordinateur, un précepteur super patient ?

L’ordinateur, sous toutes ses formes, tour, boîte, portable, ultraportable, téléphone intelligent, tablette tactile ou autre est entré dans la vie de la plupart des Français.

À la grande époque du cédérom, certains ont pensé que l’interaction avec le logiciel permettrait d’instruire les enfants, sans culpabilisation, avec égalité, objectivité et efficacité.

Les développeurs et pédagogues n’ont sans doute pas réussi à réaliser le logiciel idéal car le moins que l’on puisse dire est que cette approche est tombée en désuétude. Il n’est qu’à voir l’effondrement de l’offre RIP (Reconnu d’Intérêt Pédagogique par le Ministère de l’Éducation nationale).

La salle informatique, salle où l’on venait s’exercer sur des petits applicatifs plus ou moins merveilleux est elle aussi tombé en désuétude. Elle était le meilleur allié de l’ordinateur professeur en attendant que le même travail puisse se faire à la maison.

Exit l’ordinateur, enseignant patient et infatigable ; les enseignants ont gardé leur travail.

La ressource, ici, là, là-bas et même partout

La nouvelle lumière émise par l’entité « ordinateur » s’est ensuite appelée « Ressource ». Il n’est plus alors question de programmes fermés mais de données, d’informations ; en un mot d’éléments que tout ordinateur est sensé pouvoir stocker, afficher et traiter de façon plus efficace que n’importe quel humain, fut-il professeur.

Un grand mouvement de constitution de ces ressources, bases de données s’est alors lancé. Les bibliothèques, les archives, tout devait pouvoir être mis en fiche et affiché sur le cathodique écran.

Avec l’essor d’Internet, ces bases de données se sont de plus en plus ouvertes au point de devenir collaboratives dans leur constitution. N’importe quel internaute peut se promouvoir expert de tel ou tel domaine, créer son site, ou participer à un projet encyclopédique comme Wikipédia.

Entre-temps, la télévision confortait sa position d’apporteur de « savoirs », ce qui fait que tout petit français d’âge scolaire reçoit des monceaux d’informations qu’il ne cherche souvent même pas à prendre comme tel.

Alors, le B2i et la nécessité d’aider les enfants à trier l’information, ont légitimé le rôle de certains enseignants, en particulier les professeurs documentalistes qui se sont bien emparés de cette mission, en dépoussiérant l’image de bibliothécaire qui leur était parfois associée.

Au-delà des documentalistes, de nombreux enseignants se sont penchés sur la question, souvent avec efficacité.

L’ordinateur n’a donc toujours pas eu la peau des enseignants et il semble même perdre des points.

L’interactivité, c’est quoi cette bête-là ?

L’ordinateur tente donc une troisième offensive, devenir interactif… Cela demande une explication. En effet, même le plus sommaire des ordinateurs a toujours été capable de répondre à un stimulus de son utilisateur (clavier, souris, voix…), ce ne doit donc pas être une nouveauté.

En fait, c’est son association avec un périphérique de saisie et d’affichage, le tableau interactif, qui fut sa dernière mauvaise bonne idée dans sa lutte pour devenir l’enseignant unique.

En effet, le tableau interactif permet d’afficher tout ce qui s’affiche sur un ordinateur, programmes et données, mais en plus de commander ce flux d’information. Son apport principal est qu’il est de grande taille et qu’il permet ainsi de favoriser les interactions entre plusieurs personnes sur un sujet de réflexion commun.

Et c’est là que le piège se retourne contre le pauvre ordinateur. En effet, celui-ci est maintenant devenu lui-même le périphérique du tableau interactif. On le cache dans un coin et même certains oublient complètement son existence.

L’enseignant astucieux se sert donc désormais du tableau interactif comme d’un allié qui lui permet de faire travailler ensemble les cerveaux de ses élèves. Toute idée émise peut désormais être reprise traduite en mots ou images, mémorisée, modifiée, partagée. Mieux, avec les possibilités des réseaux, ce travail peut devenir collaboratif à distance.

La diversité, la richesse des explorations permises ferment donc la porte à l’ordinateur comme super enseignant et ouvre la voie royale à l’enseignant qui devient le véritable pivot de l’activité pédagogique de la classe.

Score final ?

Clairement, l’ordinateur a perdu si on se place sur le plan du remplacement de l’un (l’enseignant) par l’autre (l’ordinateur). De plus, le monde du travail bascule de plus en plus vers la collaboration, le travail à distance et il est donc indispensable d’apprendre aux enfants à collaborer dès le plus jeune âge. Quel meilleur outil qu’un tableau interactif (ou une table interactive) pour cela ?

Même s’il est périphérisé, l’ordinateur est un élément essentiel du tableau interactif. Il lui ouvre ses capacités immenses de calcul, stockage, communication. De son côté, l’enseignant peut, grâce au tableau interactif, devenir beaucoup plus créatif, formateur, constructeur. L’élève n’a jamais été autant encouragé à imaginer, produire, argumenter, réfléchir.

Les possibilités de connexions à distance et de nouveaux outils comme les tablettes tactiles permettent de travailler de façon collaborative, dans la classe, ou de n’importe quel point du monde, tout en intervenant sur le tableau interactif.

La porte est donc toute grande ouverte aux enseignants qui ont la fibre pédagogique. Le tableau interactif et ses périphériques (ordinateur, tablettes tactiles, boîtiers de réponse) est son allié.

Le doigt devient le point direct d’entrée dans l’univers de l’ordinateur (SMART Technologies diffuse depuis 1991 des TBI tactiles au doigt). Cela permet de construire un avenir où l’ordinateur sera de plus en plus utilisé mais de moins en moins visible. L’enseignant retrouve son rôle le plus noble, aider chaque enfant à se construire et ça, c’est de l’humain, pas de la machine.

Enseignant vainqueur par KO et l’ordinateur devient un périphérique des TBI. Beau renversement des rôles, non ?

Ces dernières semaines, on a vu sur Internet de nombreuses voix s’élever contre la supposée « révolution » du tableau blanc interactif (TBI). Plusieurs articles ont récemment soulevé le débat :

Ces différents articles, solidement argumentés et largement commentés, ne manquent pas de bon sens ni d’humour. Ils témoignent aussi d’un certain ras-le-bol envers la technicisation actuelle du débat pédagogique.

Chez TableauxInteractifs, nous sommes bien sûr convaincus de l’intérêt pédagogique du TBI et il nous semblait important de réagir à ces visions plutôt pessimistes de l’outil. Sans avoir l’ambition de révolutionner le débat, nous voudrions simplement y apporter un autre point de vue.

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