L’avenir tend vers une numérisation du domaine éducatif. Le processus est d’ailleurs déjà engagé grâce aux technologies révolutionnaires inventées par les géants de l’informatique et les services de communication. Depuis le début de cette année, près de 500 écoles pionnières expérimentent les nouvelles méthodes d’apprentissage via les outils numériques, avant le déploiement général prévu à la rentrée 2016.

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Certes il existe des plateformes d’apprentissage en ligne et des cours par correspondance depuis longtemps mais ici, l’Education nationale veut toucher l’enseignement public français en mettant à disposition une gamme de dispositifs de formation numérique. Cette avancé inclut alors, un renouveau pédagogique important mais constitue également un défi de taille composé de plusieurs facteurs de réussites comme la revue du planning des espaces et des temps scolaires, la rénovation des modes d’évaluation et la production de nouvelles ressources.

Le but de la numérisation de l’enseignement pédagogique consiste à munir tous les acteurs, c’est-à-dire, enseignants et élèves d’équipements mobiles et de ressources numériques. Ensuite, la prochaine étape est de fournir une formation aux professeurs concernant les usages pédagogiques des outils TICE. Enfin, l’on se doit d’accompagner les collectivités pour l’acquisition des matériels.

Selon la secrétaire d’État au numérique Axelle Le maire : « notre but, c’est que le numérique permette d’apprendre un métier, qu’il soit un vecteur d’intégration sociale et professionnelle pour plusieurs catégories de personnes, notamment des jeunes sans qualification, sans emploi ou décrocheurs »

Concrètement, pour chaque département qui investira 1 euro dans des matériels informatiques, l’Etat réservera la même somme pour la subventionner la formation des enseignants et des personnels mais aussi le développement des ressources pédagogiques accessibles et le financement des supports comme les ordinateurs et les tablettes. Le gouvernement prévoit même 1 milliard d’euros pour être dédié sur 3 ans à l’école numérique. D’ici 2020, 70% des élèves primaires et collégiens possèderont un terminaux individuel et collectif ; et 100% des formateurs, de PC-tablettes.

Le projet de numérisation amène à une transformation profonde du système éducatif. Les enseignants sont donc, invités à se préparer et à s’adapter à la venue inéluctable de celui-ci dans leur école. En effet, les éducateurs restent irremplaçables et contribueront même davantage pour la médiatisation de l’utilisation des outils numériques tels que le TBI ou l’écran interactif à bon escient.

Les présentations sont le quotidien des professionnels. Entretien d’embauche, évaluation de projet ou encore présentation marketing, la liste est longue. Néanmoins, une présentation ne s’improvise pas car elle est d’une importance capitale pour la compréhension et la reconnaissance de votre travail.
Retrouvez donc, ci-dessous quelques conseils pour bien organiser une présentation dynamique.

Startup Stock Photos
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La « règle de trois »

Avant même de réfléchir à tous les préparatifs de votre présentation, il est primordial de savoir quels sont les idées clés qui dirigeront celle-ci car souvent, l’on a tendance à donner trop d’informations inutiles puisqu’on se fait une fausse réflexion comme quoi la quantité rassure.

Premier astuce, utilisez la « règle de trois », il s’agit de poser sur papier le résumé même de toutes les idées ; et cela est à développer en trois parties. Il faut donc, centrer son entretien sur trois messages essentiels, sinon l’effet sera dilué.

Par contre, si vous voulez évoquer des sujets supplémentaires, il est conseillé de les noter sur un autre support en les appuyant d’exemples.

Les comportements à adopter

Il est confirmé que 80% de la communication est non verbale. En plus de votre expression orale, votre auditeur analysera donc, vos gestes, votre position et même les expressions de votre visage. Concrètement, il faut déjà avoir une attitude positive et ouverte.

A faire : Commencer son discours par le sourire, regarder le public, faire des gestes démonstratifs, …

A éviter : Croiser les bras, se gratter la tête, tourner le dos à la foule, …

Autre chose à retenir, il faut apprendre à respirer que ce soit avant ou pendant la présentation. Par ailleurs, n’hésitez pas à faire passer vos messages via des modulations de voix, en laissant quelques fois des blancs dans le discours pour laisser réfléchir vos interlocuteurs.

En outre, faites vivre votre présentation en rajoutant une interactivité qui fasse avancer le discours dans votre sens. Pour ce faire, vous pouvez, par exemple, poser des questions préparées à l’avance à votre auditoire.

Le choix du support visuel

Si on a la chance de pouvoir s’appuyer sur un écran ou un tableau interactif, on peut profiter des facilités de présentation que peuvent offrir les logiciels de présentation qui sont associés aux TBI  (soient par exemple Smart Notebook ou  bien Promethean ActivInspire). La manipulation et l’annotation en direct de l’image projetée par un écran interactif apporte sur surcroît d »aisance pour le présentateur et  d’attention pour son public.

Outre le traditionnel Power Point, d’autres outils sont à préconiser, à condition de les maîtriser.

Voici quelques options pour une présentation plus dynamique :

Prezi : C’est un support innovant qui vous permet de raconter une histoire. Il établi un chemin logique en s’appuyant à une série d’animations. A coup sûr, vous maintiendrez l’attention du public avec ses effets, presque en 3D.

Haiku Deck : Son concept est une slide = une image + une idée. Les diapositifs crées sur ce logiciel se concentrent alors, sur les graphiques et l’imagerie.

Keynote : L’on peut accéder à Keynote directement en ligne via un compte Apple et l’accès iWork. Avec cet outil, l’on profite de toutes les fonctionnalités qu’offrent les précédents logiciels, en plus de pouvoir sauvegarder sa présentation sur iCloud.

Cependant, il est conseillé de ne pas s’appuyer uniquement sur le support visuel de votre présentation. Ainsi, prenez en compte le type de discours, le sujet à présenter ainsi que le contexte général de la discussion. Dernier conseil qui marche, commencez toujours votre exposition avec une histoire, une anecdote ou un peu d’humour afin déjà de susciter l’attention du public et de créer un lien avec lui. Toutefois, faites preuve de discernement quant au choix du réplique pour qu’il soit bien en corrélation avec le contexte de la présentation.

Ce texte est un résumé d’un plus long article que vous pouvez consulter sur : www.tableauxinteractifs.fr/entreprise/presenter/pensez-vos-presentations-autrement

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tablette en classe

Le gouvernement favorise l’usage des tablettes en classe

L’idée d’introduire les tablettes numériques à l’école est soutenue par le gouvernement. Il veut donner vie à une nouvelle méthode éducative doublée d’une culture numérique.

Le souhait serait que chaque élève en possède une mais ce projet nécessite un budget élevé.

Un sondage a montré que les parents étaient plutôt favorables. Ils pensent que c’est un outil utile qui allège le poids du cartable. Par contre, ils ne sont pas encore totalement convaincus que l’interactivité et le côté ludique de la tablette apportent beaucoup à leurs enfants.

Mais ce projet ne peut se limiter uniquement à la distribution d’un matériel plus moderne à l’école. Il doit s’accompagner d’une nouvelle méthode de travail.
Le but n’est pas seulement que les élèves sachent utiliser la tablette tactile mais qu’ils acquièrent des connaissances grâce à des nouveaux outils de travail.

Les tablettes enrichissent les supports

Ils devront rechercher l’information, la sélectionner, la comprendre et la retenir. La tablette ne remplace pas un ordinateur mais permet un enrichissement des apports pédagogiques de l’enseignant et de changer les formes d’apprentissage des élèves.
Elle offre des avantages indéniables : Lorsque la classe travaille sur la tablette, le résultat peut être projeté sur le tableau grâce à un TBI. Ce qui permet les échanges et une correction collective. Elle est le complément du tableau numérique qui permet le partage et qui dynamise la participation des élèves.

La tablette donne une autre dimension à toutes les disciplines : en anglais, l’élève peut écouter mais aussi s’enregistrer. Elle complète toutes les matières autant les sciences que les cours artistiques.

Lorsque l’enseignant maîtrise et intègre ces outils, il mobilise l’élève par la recherche sur des sites internet. Il va utiliser les services proposés en ligne et les applications téléchargées.
Un enseignement classique est complètement transformé et dynamisé puisque l’élève peut partager, grâce à sa tablette, ce qu’il a trouvé. Il peut aussi le publier. On attend de lui un rôle actif, le cours devient pour lui beaucoup plus intéressant.

Ce sera toujours à l’enseignant de demander à sa classe l’utilisation du numérique. Il doit l’aider dans sa pédagogie, il lui apporte des idées nouvelles qui facilitent les apprentissages.

Témoignage d’une enseignante amenée à intégrer le tableau blanc interactif dans sa pédagogie quotidienne.

Les TBI : apports et contraintes

Une technologie nouvelle à maîtriser

L’arrivée des TBI dans le monde de l’éducation est un événement important mais dans les faits, l’apparition d’une technologie nouvelle pose souvent quelques problèmes.

Il faut d’abord souligner que le tableau blanc interactif coûte cher ! Ils représentent un réel investissement, ce qui peut souvent freiner voire bloquer son apparition dans certaines écoles.

De plus, une grande partie du personnel enseignant se retrouve démunie face à cet outil ! Comment l’utiliser efficacement ? De quelle manière le mettre réellement à profit en exploitant toutes ses possibilités ? Il existe un réel manque de formation et la majorité des enseignants devra se former seule, au contact de l’outil ou avec le soutien de collègues plus expérimentés.

Cependant, une fois que l’enseignant le maîtrise et qu’il parvient à le mettre efficacement en place au quotidien, le tableau interactif  se révèle être un outil précieux permettant un vrai gain de temps, une meilleure dynamique dans l’assimilation des savoirs, plus d’interactivité, de motivation…

Un enseignement dynamique

Les TBI permettent à l’enseignant de modifier ses pratiques. Il gagne d’abord du temps en classe : les devoirs à noter, les leçons à copier, les images à afficher… Tout est préparé en amont, il n’y a plus qu’à afficher au TBI ! Le temps de présence de l’enseignant peut alors être dédié réellement au soutien et à l’accompagnement des élèves.

Ces nouvelles technologies apportent plus de dynamisme dans une classe. Les élèves ne sont plus tête baissée sur un support individuel, ils regardent tous ensemble dans la même direction. Les textes, les images s’affichent, sont déplacés, modifiés. Le support est en mouvement : il maintient l’attention et l’intérêt.

Lors d’un exercice, la classe peut observer les étapes, participer à l’élaboration, venir modifier. Le support n’est pas figé, les erreurs ne sont pas inscrites définitivement, l’enseignant peut intégrer les remarques, les corrections… Autant d’aspects bénéfiques pour la motivation de chacun.


Les avantages à utiliser un TBI

Les TBI : quels bénéfices pour l’élève ?

Ludique, créatif, interactif

Le manque de motivation est un problème dans le quotidien de la classe. L’arrivée en classe d’un TBI apporte quelques solutions.

L’interactivité entre l’enseignant et les élèves, mais aussi entre élèves amène ces derniers à être plus réactifs, plus impliqués. Les TBI permettent par exemple un support privilégié pour exposer un travail de recherches en groupe : les élèves peuvent y insérer des textes, des images, du sons, ou même des extraits vidéos… Ils sont alors bien plus investis dans leur présentation, et l’auditoire dans son écoute !
Cela favorise le dialogue entre pairs, le débat, l’argumentation. Le travail collectif trouve un nouvel essor, gagne en efficacité.

Un autre aspect du TBI le rend particulièrement ludique pour les élèves : le lien étroit qu’il entretient avec les TICE. Il permet à la classe de s’ouvrir plus facilement aux technologies numériques et d’effectuer par la même occasion un travail sur les traitements de texte, la recherche internet, la sélection d’informations… Autant de savoirs à intégrer dans le cursus scolaire des élèves.

Être acteur pour mieux apprendre

Ce dynamisme et ces interactions favorisés par les TBI rendent les élèves acteurs. En plus d’une meilleure écoute, d’une plus grande concentration, ils font preuve d’un investissement accru dans l’apprentissage.

En agissant directement avec le TBI, ils comprennent mieux, assimilent mieux. Sont alors favorisés tous les processus entrant dans l’assimilation d’une notion : l’intérêt, l’écoute active, la mise en application, l’entraînement, la facilité de mémorisation…

L’élève ne subit plus l’exposé magistral du professeur, il est actif, réactif, impliqué et investi, pour une plus grande efficacité et de meilleurs apprentissages au quotidien.